D'autres points d'amélioration ont été recensés :
- l'entretien des locaux est insuffisant pour 46 % d'entre eux
- l'accès à un point d'eau : entre 24 et 27 % des salariés interrogés déclarent avoir recours au "système D" avec l'utilisation d'eau en jerrican ou de l'eau du système public. Ou pas d'eau du tout.
- L'installation de douche absente sur près d'un chantier sur deux, alors même que les intervenants peuvent potentiellement être exposés à des produits polluants. "Lorsqu'elles sont présentes, 33 % sont non entretenues ou inutilisables", précise l'OPPBTP.
- Dans deux tiers des cas, les vêtements de protection sont lavés à la maison, alors que 80 % des chantiers sont considérés comme polluants par les employeurs. Le risque de contamination touche l'intervenant mais aussi son entourage familial.
- Entre 15 et 29 % des repas sont pris dans les véhicules, des chiffres qui montent à 33 % sur les activités de travaux publics, et à 47 % pour les chantiers courts.