Les témoignages recueillis soulignent notamment les difficultés à modifier les éléments d'un dossier et les délais à rallonge de versement des primes, quand elles ne sont pas tout simplement refusées pour cause de retard…dû à la plateforme. "Refuser la prime à ces demandeurs revient à ce que l'Anah les sanctionne pour ses propres carences", estime la défenseure des droits qui demande à l'organisme des comptes dans un délai de trois mois.
Pour l'Anah, ces cas de figure sont loin de représenter une majorité. L'Agence "prend acte de ces recommandations" tout en rappelant le succès du dispositif et de ses 1,25 million de bénéficiaires.