
"Nous demandons une mise en œuvre immédiate comme prévu par la loi et la création d’un seuil de franchise spécifique pour le secteur fixé à 1 euro, rappellent les deux organisations dans un communiqué de presse commun. Le secteur du bâtiment est particulièrement touché par le développement des microentreprises en activité. Elles s’avèrent souvent source de concurrence déloyale en raison de l’absence d’obligation de collecte de TVA, d’éviction progressive du salariat à leur profit, de précarisation des travailleurs en raison d’une plus faible protection sociale, de règles de santé-sécurité et de construction moins systématiquement prises en compte."