(c) OID - Les centres commerciaux et les hôtels connaissent une augmentation de leur consommation énergétique en énergie finale de respectivement de 6,5 % et 10,7 %. En cause selon l'OID : en 2022, avec la sortie de la crise sanitaire, les taux d'occupation des hôtels ont bondi ainsi que la fréquentation des centres commerciaux. "Les seuils présentés reflètent donc des niveaux correspondant mieux au rythme de croisière de ces secteurs d'activités."
- Les actifs se santé présentent une baisse mesurée de leurs consommations en énergie finale avec -1,2 % "qui témoigne d'une pression toujours forte sur les bâtiments et leur fréquentation".
- Les bureaux et logements confirment la tendance de long terme à la diminution des consommations énergétiques. Pour les bureaux, la baisse s'évalue à - 8,7 % (134 kWhEF/m²) et pour les logements à - 6,4 % (140 WhEF/m²).
"Malgré ces bons résultats, le ryhtme de décarbonation reste toujours en déça des objectifs de - 2 % par an en moyenne depuis 2010 tandis que les ambitions européennes rehaussées nécessitent désormais de se placer sur un ryhtme de plus de 6 % par an !"
