
Entre 2018 et 2023, "nous avons perdu près de 9 000 m², soit près de 30 km² chaque semaine et l'équivalent de 600 terrains de football chaque jour", ajoute le réseau. Parmi les principales victimes : les forêts, les prairies et les zones humides. Mais les zones cultivables sont elles aussi touchées et avec elles s'intensifie la menace de la sécurité alimentaire et sanitaire européen.
Les journalistes pointent également du doigt que ces constructions mangeuses de terres naturelles ou agricoles ne sont pas destinées la plupart du temps au plus grand nombre mais relève souvent du tourisme de luxe. Plus de 150 000 empiéteraient sur des zones protégées.