(c) Paul Brennan
Depuis le 5 mars dernier, les deux organismes sont liés par un accord-cadre d'une durée de 5 ans. Une association de compétences qui se concentre sur trois grands axes de recherche : l'ingénierie, le numérique et les sciences humaines.

Ils se connaissent déjà bien pour avoir travaillé ensemble fréquemment mais ponctuellement à travers différentes conventions. Pour le CSTB et le CNRS, il s'agit désormais, grâce à la signature d'un accord cadre d'une durée de 5 ans, de "renforcer ces collaborations en les inscrivant dans un partenariat structuré et interdisciplinaire, offrant de nouvelles perspectives de recherche autour de thématiques clés pour le bâtiment et la ville". Elles sont de trois ordres :

- les sciences de l'ingénierie et des systèmes : elles touchent particulièrement les questions liées à l’énergie et la rénovation durable ;

- les sciences du numérique, avec un travail sur les nouveaux outils et approches, adaptés à des besoins en pleine mutation ;

- les sciences humaines et sociales avec l'évolution des pratiques et besoins des usagers. "L'intégration de cette préoccupation, dès la phase conception des ouvrages, est en effet un enjeu majeur pour le CSTB, et plus largement pour le bâtiment et la ville de demain qui imposent une vision nouvelle, associant technique et usages."

Cette démarche affiche comme objectif d'établir "une vision prospective en phase avec les nouveaux enjeux techniques, économiques et sociétaux de la construction et de l'aménagement".