Les régions les plus exposées sont logiquement celles du sud du pays mais d'autres, telles que l'Ile de France, Centre-Val de Loire, Bourgogne Franche Comté et Grand Est sont également vulnérables, notamment en raison du fait que les logements sont ici moins adaptés aux surchauffes estivales. Le risque d'inhabitabilité existe et pourrait être aggravé par les phénomènes d'îlot de chaleur urbain auquel sont exposés, selon les auteurs de l'étude, près de 13 millions de logements. Sont ainsi concernés les grandes agglomérations comme Paris, Lyon et Bordeaux mais aussi celles de taille plus réduite comme Mulhouse, Grenoble, Metz ou Reims.
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