Il s'agit de la "première étude de cette ampleur à l'échelle française", a commenté l'adjoint au logement (PCF) Jacques Baudrier, pour qui les résultats montrent que les travaux entrepris "sont efficaces" : la diminution moyenne annoncée après travaux atteint -28 % par opération avec "des écarts allant de -18 à -31 % selon le mode de chauffage considéré", le gaz notamment tirant les chiffres vers le bas. Les logements rénovés équipés de systèmes individuels de chauffage connaissent la baisse la plus importante (-30 %).