Le gouvernement voulait restreindre le PTZ aux seules zones urbaines et au logement collectif, "privant ainsi 93 % du territoire de tout appui à la construction neuve, alors que les taux d'emprunt immobilier se sont envolés", souligne la FFB. Mais il s'est retrouvé finalement seul face à la commission des finances de l'Assemblée nationale, à l'appui de 300 députés de la majorité et de l'opposition et au soutien des élus locaux de l'Association des Maires de France.