Le site est montagneux, soumis au vent, à l'orage, à la neige, complexifiant considérablement l'accès au site pour les poids lourds. Sur place, les 4 000 m² de toiture, imbriquées les unes dans les autres, étaient non seulement toutes fuyardes mais présentaient en plus un support bois vieillissant. Le risque d'incendie pointait son nez.